Un entrepreneur de pompes funèbres de dix-neuf ans a souhaité lui rendre les clés. - Marie est malheureusement décédée au domicile de son ancien partenaire.
Les forces de l'ordre ont fouillé de fond en comble la maison située au numéro 46 d'une petite colline, découvrant jusqu'aux plus infimes traces d'ADN sur les portes. "Le mandat d'arrêt repose sur l'hypothèse que la victime a été assassinée au domicile du suspect", explique Thomas Rauscher, procureur général. "Des traces de sang ont également été découvertes dans la maison. Selon le Mittelbayerische Zeitung, la femme est morte étouffée.
Quatre jours après la découverte de son corps dans le parking du magasin de bricolage Toom à Ratisbonne, de nouveaux éléments sont apparus : au moment de sa mort, Marie, qui travaillait dans les pompes funèbres, avait obtenu son certificat de fin d'études professionnelles avec d'excellentes notes. Elle avait auparavant obtenu son diplôme de fin d'études secondaires avec une note parfaite.
Les médias révèlent que la remise de ce dernier certificat a été la dernière preuve de son existence.
Le même jour, elle se serait rendue chez Thomas B. à Maxhütte-Haidhof pour lui rendre les clés de la porte d'entrée après leur rupture. Sa voiture a été vue pour la dernière fois vendredi en fin de journée. Cependant, elle n'aurait jamais quitté la maison jaune en vie.
Juste derrière le bâtiment, un chemin envahi par la végétation serpente à travers les buissons : c'est peut-être là que le suspect a traîné le corps jusqu'à la voiture de son ex-petite amie, avant de parcourir les 26 kilomètres de l'A93 jusqu'au parking du magasin de bricolage.
A noter que Marie G. était inscrite dans une salle de sport voisine. Thomas B., semble-t-il, n'était pas au courant.
Le mystère reste entier quant à la raison pour laquelle la vitre du côté conducteur de la Corsa était brisée de l'extérieur lorsque la voiture a été retrouvée samedi matin. Des rumeurs ont également fait état d'une lutte à l'intérieur de la voiture.
Selon le groupe de médias bavarois, le téléphone portable de la victime a disparu depuis. Il avait été déconnecté du réseau vendredi et s'était connecté pour la dernière fois à un mât radio à Maxhütte-Haidhof.
Thomas B. nie catégoriquement l'accusation d'homicide involontaire. Il est en garde à vue depuis dimanche soir.
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Source: symclub.org