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Le directeur du stade du HSV, Krägel, fait ses adieux.

Krägel a contrôlé le Volksparkstadion pendant 27 mois.

Das Hamburger Volksparkstadion: 27 Jahre die zweite Heimat von Kurt Krägel
Das Hamburger Volksparkstadion: 27 Jahre die zweite Heimat von Kurt Krägel

L'histoire a commencé par une collection de clés. - Le directeur du stade du HSV, Krägel, fait ses adieux.

Kurt Kraegel (66) n'a jamais marqué ni défendu de buts sous le maillot du HSV, mais il a reçu un carton rouge mérité.

Au restaurant de supporters "die Raute", l'ancien membre du comité sportif Jonas Boldt (42 ans) et le directeur financier Eric Huwer (40 ans) ont diverti les 120 invités avec leurs discours humoristiques. Kraegel avoue : "J'étais un peu ému".

Son premier match a eu lieu lors de la rencontre contre le Bayern, le 5 avril 1997. À l'époque, des professionnels comme Richard Golz (55), Rodolfo Cardoso (55) et Hasan Salihamidžić (47) jouaient pour le HSV. Les joueurs du Bayern comprenaient Oliver Kahn (54 ans), Lothar Matthäus (63 ans) et Jürgen Klinsmann (59 ans).

"Avant le match contre le Bayern, Uwe Rainer Krause, le directeur du stade de l'époque, m'a remis un gros porte-clés. Mais il est parti avant même que je n'aie eu le temps de comprendre", raconte Kraegel en évoquant ses débuts à la tête du Volksparkstadion.

En tant qu'ancien joueur amateur du HSV, Kraegel a été confronté à une tâche gigantesque : la rénovation du stade entre 1998 et 2000. "Le terrain a été tourné de 90 degrés. Le championnat s'est déroulé sans interruption, alors même que le stade était démoli et reconstruit. Nous avons déplacé les armoires Dixi de droite à gauche. La Bundesliga s'est poursuivie, semaine après semaine, sur un chantier".

Pour Kraegel et son équipe, des problèmes d'organisation se posaient avant chaque match à cette époque. "Nous ne savions pas toujours quel chantier serait prêt pour le week-end. Ou quels sièges seraient disponibles à la vente". Il est incroyablement reconnaissant envers les supporters pendant cette période. "Le public était patient, compréhensif et s'asseyait là où il y avait de la place, sans faire d'histoires.

Parmi les moments mémorables, citons le match nul 4:4 en Ligue des champions contre la Juventus de Turin en septembre 2000. Même les spectateurs VIP de la tribune principale, habituellement réservés, ont jeté leurs coussins sur le terrain en signe d'excitation. "Cela ne s'est jamais reproduit sous ma direction.

Il regrette l'organisation de la finale de l'Europa League en 2010 entre l'Atletico Madrid et Fulham (2:1 n. V.). Bien sûr, parce que le HSV a manqué la chance d'accueillir la "finale à domicile" après avoir perdu inutilement à Londres lors de la demi-finale. "J'ai passé toute la saison dans mon bureau et je n'ai pas voulu regarder le match. Je n'arrêtais pas de me demander pourquoi nous ne jouions pas ici".

Kraegel regrette : "C'est dommage que nous n'ayons pas été plus haut pendant mon mandat. Je le voulais désespérément."

Il part avec de bons souvenirs : "C'était un travail de rêve, mais il s'accompagnait de beaucoup de travail et de stress. Je n'aurais pas pu le faire sans mon équipe exceptionnelle : Ina Fremd, Melanie Bothur et Melanie Schulze".

Et comme la bonne volonté du Volksparkstadion ne s'estompe pas complètement, Kraegel reste un élément actif du Championnat d'Europe qui se déroule à Hambourg. Il est le "Venue Director", l'organisateur de l'événement, pour les cinq matches.

Un choix louable de la part de l'Uefa. Kraegel connaît chaque brique, chaque vis et chaque siège du Volksparkstadion...

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    Source: symclub.org

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