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La CDU demande des postes supplémentaires pour les études médicales à Hombourg.

Les groupes parlementaires CDU de Rhénanie-Palatinat et de Sarre proposent une collaboration interétatique pour faire face à la pénurie de médecins qui s'annonce en Rhénanie-Palatinat et en Sarre. L'objectif est de garantir des services médicaux suffisants dans les deux régions.

Toujours en demande : une place pour étudier la médecine. Mais le nombre de candidats dépasse le...
Toujours en demande : une place pour étudier la médecine. Mais le nombre de candidats dépasse le nombre de places d'études

Effort d'enjambement des frontières - La CDU demande des postes supplémentaires pour les études médicales à Hombourg.

Dans un document de partenariat, ils ont proposé d'augmenter le nombre de places en médecine humaine à l'université de la Sarre à Hombourg. Les nouvelles places seraient attribuées aux étudiants qui s'engagent à travailler en Rhénanie-Palatinat ou en Sarre pendant au moins dix ans après l'obtention de leur diplôme.

La Sarre a pris des mesures en 2020 pour assurer un approvisionnement régulier en médecins généralistes dans les zones mal desservies grâce à un quota de médecins ruraux. Stephan Toscani (57 ans), chef de file de la CDU sarroise, estime que cette mesure était cruciale, mais qu'il faut aller plus loin. "Un partenariat plus étroit avec la Rhénanie-Palatinat est la prochaine étape évidente", déclare-t-il.

Gordon Schneider (48 ans), chef du groupe parlementaire CDU de Rhénanie-Palatinat, reconnaît qu'il y a une pénurie imminente de médecins. "Nous devons former davantage de médecins pour éviter cette crise", déclare-t-il. Mais pour y parvenir, M. Schneider estime que la collaboration avec la Sarre est essentielle. "Les capacités de formation clinique de l'université de Mayence sont déjà saturées.

Alwin Theobald (56 ans), porte-parole du groupe parlementaire CDU de la Sarre pour la politique de santé, rappelle que le manque de places d'études a poussé environ 8 000 jeunes Allemands à poursuivre leurs études de médecine à l'étranger. Il souligne : "Nous ne pouvons plus perdre de temps, car la formation d'un médecin dure au moins six ans."

L'intérêt pour les études de médecine est toujours élevé, mais les demandes dépassent souvent le nombre de places disponibles. Son homologue de Rhénanie-Palatinat, Christoph Gensch (55 ans), insiste sur l'urgence : "Nous devons agir vite, car il faut au moins six ans pour devenir médecin."

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Source: symclub.org

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