Un chirurgien plasticien révèle la vérité sur son travail sur les lèvres. - Un document se penche sur "Qui veut gagner des millions" : un regard de près
Un lundi, elle présente au studio son mari dont il a été question lors de l'émission de la veille : "Mon mari pratique des opérations intimes sur les femmes ! Jauch lui répond en souriant : "Alors, il ne peut pas opérer les hommes ? Les rédacteurs en chef de l'émission l'ont ensuite réprimandé pour son commentaire, ce qui l'a amené à répondre : "Je me demande ce que ces imbéciles m'écrivent : "Qu'est-ce que c'est exactement ? Venez poser les questions vous-mêmes !"
Le candidat, lui, a été clair et direct : "Quand vos petites lèvres pendent et que c'est irritant quand vous faites du vélo ou que les gens les regardent dans le sauna, c'est assez désagréable. En outre, il se peut que les petites lèvres ne pendent pas seulement comme ça. Il peut y avoir des cas où c'est plus comme ça, ce qui amène à se demander si ce n'est pas une prestation de l'assurance maladie".
Lors d'une émission du lundi de Pentecôte (enregistrée avant les vacances), le chirurgien plasticien lui-même était présent. Il n'a pas hésité à revenir sur ce sujet intime : "Votre femme en a parlé en détail, j'ai du mal à le croire ! Pourquoi n'avez-vous pas pu en parler hier ?"
Le docteur Stephan Günther (53 ans) a expliqué qu'il devait opérer. Pour des raisons de discrétion, il reçoit souvent ses patients le soir, afin que les voisins ne s'en aperçoivent pas. Jauch est perplexe : "Mais qu'est-ce que les voisins pourraient bien remarquer dans mon espace personnel ?
Le médecin esthétique de Düsseldorf ajoute : "Vous pouvez marcher comme un pingouin ou faire des enjambées comme John Wayne, parce que vous êtes juste un peu abîmé." Le parking du cabinet est situé au sous-sol afin de préserver l'intimité de ses clients.
Son mari, le Dr Stephan Günther, prévoit d'utiliser leurs gains pour suivre une formation d'"instructeur de bodyflying" (vols stationnaires dans une soufflerie), ce qui l'enthousiasme, elle, Annelie Köglmeier.
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Source: symclub.org