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Nancy Faeser s'étonne de cette information.

Caren Miosga (55 ans) fait preuve d'un manque de conscience inquiétant, comme le révèle la ministre de l'intérieur Nancy Faeser (53 ans) du SPD.

La ministre de l'Intérieur Nancy Faeser (53, SPD) avec la commissaire à l'intégration pour...
La ministre de l'Intérieur Nancy Faeser (53, SPD) avec la commissaire à l'intégration pour Berlin-Neukölln, Güner Yasemin Balci (49)

La peur des opinions divergentes est répandue dans de nombreux établissements d'enseignement. - Nancy Faeser s'étonne de cette information.

Presque un serment de dénonciation !

Güner Yasemin Balci, commissaire à l'intégration de Berlin-Neukölln (49), a tiré la sonnette d'alarme en proclamant que le droit à la liberté d'expression avait disparu dans de nombreuses universités allemandes. Le ministre a été surpris par cette révélation : "Je n'en savais rien !

Auparavant, Mme Balci avait exprimé sa profonde inquiétude quant à la détérioration de la situation des étudiants pris dans des bagarres politiques et confrontés au harcèlement et aux menaces. Elle a déploré que "ces plates-formes de débat ouvert aient disparu de nombreuses universités".

Dépitée par la situation

L'inquiétude de Mme Balci ne se limite pas aux dommages physiques causés à l'université Humboldt par les partisans d'Israël et du Hamas. Elle est troublée par le fait que plusieurs universités sont devenues des environnements inhospitaliers pour la pensée critique : "C'est pire que de voir des espaces universitaires saccagés !

Partageant ses inquiétudes, elle souligne : "Nous devons garantir que les étudiants qui étudient en Allemagne puissent exprimer leurs pensées et leurs opinions en toute sécurité. Il est alarmant que les gens craignent pour leur sécurité lorsqu'ils expriment leur point de vue".

L'importance de la loi

M. Faeser a semblé déconcerté par cette révélation et a indiqué que l'État de droit était la seule solution. "Il est choquant qu'il n'y ait pas de place pour la discussion alors que certains sujets sont jugés inavouables", a-t-elle déclaré avec ferveur. "J'insiste pour que l'État de droit s'applique également à nos établissements d'enseignement.

Alors qu'elle terminait sa déclaration, Faeser a lancé un avertissement : "Chaque fois que quelqu'un est réduit au silence ou terrorisé au point de ne plus pouvoir exprimer son opinion, c'est qu'il a dépassé les bornes. Il faut donc agir !

Controverses et émotions

Christina Miosga a évoqué la vidéo de Sylt, qui a suscité l'indignation dans tout le pays en raison de ses slogans offensants. Mais lorsqu'on lui a demandé pourquoi il n'y avait pas de tollé collectif contre les universités qui sympathisent avec des organisations antisémites comme le Hamas, Christina Miosga a demandé à son confrère Ronen Steinke, journaliste au SZ, de répondre.

Ce dernier, dans une tournure d'événements surprenante, a soulevé un problème similaire : "Moi aussi, j'ai trouvé curieux que personne ne descende dans la rue pour protester contre l'agression saoudienne au Yémen, qui a bénéficié d'une aide financière de l'Europe. Selon lui, l'empathie et le soutien semblent exclusivement réservés à des causes spécifiques.

Soulignant le lien, Miosga ajoute : "Les rebelles houthis du Yémen sont d'ardents défenseurs des terroristes du Hamas. Ils soutiennent la cause de la destruction d'Israël".

Caren Miosga avec ses invités : Nancy Faeser (SPD), Guener Balci et Ronen Steinke

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Source: symclub.org

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